Lors de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement (UNEA-6), les nations ont décidé de réduire la pollution par les produits chimiques, de lutter contre la désertification et les tempêtes de sable et de poussière, de protéger les océans, de réduire la pollution de l'air, de mieux gérer les réserves d'eau douce et de soutenir l'extraction durable des minerais pour la transition énergétique. Avec un nombre record de plus de 5 600 participants, dont 12 chefs d'État ou de gouvernement, l'Assemblée a démontré que les pays peuvent surmonter leurs divisions géopolitiques pour s'unir en faveur de l'environnement. Inger Andersen, Directrice Exécutive du PNUE, a déclaré : « L'esprit d'un multilatéralisme authentique et inclusif a été évident tout au long de cette assemblée dynamique.

Pour la première fois, l'UNEA a consacré une journée au renforcement de l'impact des accords multilatéraux sur l'environnement (AME) par une action plus unie. Ces accords internationaux ont fourni un cadre pour la protection des espèces menacées, la réparation de la couche d'ozone et la réduction de la pollution chimique, entre autres. Lors de la sixième édition de l'UNEA, les jeunes se sont également mobilisés, l'activiste environnementale Grace Catapang, des Philippines, dénonçant les « injustices dévastatrices » causées par la dégradation de l'environnement.

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Qu'est-ce que l'UNEA ? 

L'Assemblée des Nations unies pour l'environnement est l'organe décisionnel le plus élevé au monde en matière d'environnement et comprend les 193 États membres des Nations unies. Elle fixe l'agenda environnemental mondial, développe des outils politiques en réponse aux défis environnementaux émergents et détermine l'orientation stratégique du PNUE.